Attention, c’est un véritable rouleau compresseur qui va débouler sur votre platine si comme moi vous décidez d’écouter ce cd. Vitalic, alias Pascal Arbez jeune dj et producteur dijonnais fait partie de ce qu’on appelle depuis quelques temps la french touch. Cela fait déjà plusieurs années qu’il sévit auprès de ses amis de la très riche scène techno grenobloise, The Hacker et Miss Kittin dont on n’aurait pas fini de parler ici.
Disons le tout de suite, Ok Cowboy, premier album studio enregistré chez Citizen records est une tuerie totale. Dès la première écoute il est impossible de résister à cette techno rock addictive, à la fois très intelligente, accessible et complètement tubesque. Pour preuve, il est improbable que vous n’ayez pas encore entendu "Poney Part 1" ou "La Rock 01" au détour d’un dance floor, même pour ceux dont je fais partie qui ne les fréquente pas très souvent. Evidemment on pense à Daft Punk, à Jean Michel Jarre et à Kraftwerk pour ne citer qu’eux. Quasiment exempt de samples et de voix, Ok Cowboy ce sont treize hymnes imparables qui dévastent tout sur leur passage. J’ai écouté cet album pour la première fois d’une manière assez particulière, casque sur les oreilles, à bon volume, tout en poussant mon caddie dans le supermarché du coin et je peux vous dire que je me sentais sur autre planète, soumis à ce déluge de basses, cette claque sonore qui m’arrivait en pleine tête. Alors que je m’efforçais de rester calme, il m’était impossible de réprimer les rythmes qui ébranlaient mon corps. Il fallait que je danse. Tout ça pour dire que Vitalic sur ce premier album relègue la musique de Benny Benassi au rang de La chance aux chansons ou du Club Dorothée. La techno c’est tellement bon quand c’est fait comme ça.
Côté playlist, mis à part les deux "tubes" cités plus haut, "My friend Dario" est celle qui me fait le plus sauter en l’air avec la montée crescendo de la première minute. A noter qu’il n’y a aucune guitare sur cet enregistrement entièrement électronique alors qu’on croit pourtant en entendre à de nombreuses occasions. Quant à "Polkaniatic", le titre ouvrant le disque, il met dans le jus l’auditeur qui sait qu’il ne pourra pas décrocher avant la dernière note, avant la toute dernière pulsation électronique. Pour le reste aucun titre n’est à jeter. Ce disque est une pépite.
Disons le tout de suite, Ok Cowboy, premier album studio enregistré chez Citizen records est une tuerie totale. Dès la première écoute il est impossible de résister à cette techno rock addictive, à la fois très intelligente, accessible et complètement tubesque. Pour preuve, il est improbable que vous n’ayez pas encore entendu "Poney Part 1" ou "La Rock 01" au détour d’un dance floor, même pour ceux dont je fais partie qui ne les fréquente pas très souvent. Evidemment on pense à Daft Punk, à Jean Michel Jarre et à Kraftwerk pour ne citer qu’eux. Quasiment exempt de samples et de voix, Ok Cowboy ce sont treize hymnes imparables qui dévastent tout sur leur passage. J’ai écouté cet album pour la première fois d’une manière assez particulière, casque sur les oreilles, à bon volume, tout en poussant mon caddie dans le supermarché du coin et je peux vous dire que je me sentais sur autre planète, soumis à ce déluge de basses, cette claque sonore qui m’arrivait en pleine tête. Alors que je m’efforçais de rester calme, il m’était impossible de réprimer les rythmes qui ébranlaient mon corps. Il fallait que je danse. Tout ça pour dire que Vitalic sur ce premier album relègue la musique de Benny Benassi au rang de La chance aux chansons ou du Club Dorothée. La techno c’est tellement bon quand c’est fait comme ça.
Côté playlist, mis à part les deux "tubes" cités plus haut, "My friend Dario" est celle qui me fait le plus sauter en l’air avec la montée crescendo de la première minute. A noter qu’il n’y a aucune guitare sur cet enregistrement entièrement électronique alors qu’on croit pourtant en entendre à de nombreuses occasions. Quant à "Polkaniatic", le titre ouvrant le disque, il met dans le jus l’auditeur qui sait qu’il ne pourra pas décrocher avant la dernière note, avant la toute dernière pulsation électronique. Pour le reste aucun titre n’est à jeter. Ce disque est une pépite.
4 Comments:
Grosse claque, c'est le mot qui convient... Et en live, je peux en témoigner, Vitalic est un véritable rouleau compresseur, pire que sur disque! Par contre, je dois avouer que le bonhomme ne me fait que très moyennement penser à Jean-Michel Jarre...
Salutations de Lille où je m'emmerde ferme.
Chanmé en effet...on sait de qui il tient le jeuno...
Oui après ré-écoute j'avoue avoir un peu tripé sur le Jean Michel Jarre. Autant pour moi.
C'est clair que c'est bien loin de JM Jarre!En tout cas c'est un album qui envoie du gros comme on dit!Surtout les chansons les plus commerciales genre "la rock" qui me donne l'impression de m'être shooté (bien que je n'ai jamais essayé!!)...de quoi réveiller un mort et l'entrainer sur le dance floor!
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