"Des hippies, des synthés, des computers et de l'acide. Le futur de l'humanité est en marche." Voici telle quelle la phrase qui attira mon attention dans un petit bout de chronique d'un gratuit musical local. Autant dire que je n'y suis pas resté indifférent et que 5 minutes plus tard, le dit cd se retrouvait dans mon panier amazon en partance des states. Cette courte description je le pense ne devrait pas vous laisser indifférent non plus. Maintenant que la galette a tourné en orbite à domicile, qu'en est-il?
Les hippies en questions ce sont Caleb Pate et Nephi Evans, deux californiens from San Francisco qui pour leur premier essai ont lorgné du côté du label indépendant anglais Lucky number pour livrer cette oeuvre de psychadélica toute en références et en kilomètres de pistes musicales ingurgitées et mûrement digérées: Pink Floyd période Meddle bien sûr, Brian Eno sans aucun doute, Air et Pavement assurément. Et pourtant ça sonne neuf comme un étrange kaléidoscope pop post hippie. Prenez une dose d'ambiance électro, ajoutez-y un soupçon de pop buccolique et vous obtenez cet ovni aux frontières floues et songeuses de la pop insouciante, de l'électronica et du folk.
Le duo de songwriteurs passe d'un instrument à l'autre et maintient une solide basse ainsi qu'une batterie bien sèche délivrant une bouffée de psychédélisme tranquille et relaxant. Véritablement cinématographique, les morceaux s'enchaînent tels des hymnes à l'amour dans un vide intersidéral. Simple d'apparence mais d'une infernale richesse de détails, la musique de Seventeen Evergreen n'a pas fini de faire parler d'elle. Premier coup de buzz, ce vidéo clip païen et défoncé pour le premier titre extrait de l'album, Haven't been yourself. Des titres comme Sazebac, Lunar One ou Ensong sont de véritables ballades cosmiques en puissance, bandes originales évidentes de voyages stellaires imaginaires. Mercury Rev, Eels et Baxter Dury auraient déjà pris leurs tickets pour l'expédition.
A la fois fresque musicale riche et singulière et mélange d'exaltations électroniques berçées à la pop américaine dans le bon sens du terme, Life embarrasses me on planet earth nous prend par la main et nous invite à bord de la toute première navette spatiale auditive. Planant.
Ju.
Je vous laisse tripper en compagnie du clip de Haven’t been yourself :
Les hippies en questions ce sont Caleb Pate et Nephi Evans, deux californiens from San Francisco qui pour leur premier essai ont lorgné du côté du label indépendant anglais Lucky number pour livrer cette oeuvre de psychadélica toute en références et en kilomètres de pistes musicales ingurgitées et mûrement digérées: Pink Floyd période Meddle bien sûr, Brian Eno sans aucun doute, Air et Pavement assurément. Et pourtant ça sonne neuf comme un étrange kaléidoscope pop post hippie. Prenez une dose d'ambiance électro, ajoutez-y un soupçon de pop buccolique et vous obtenez cet ovni aux frontières floues et songeuses de la pop insouciante, de l'électronica et du folk.
Le duo de songwriteurs passe d'un instrument à l'autre et maintient une solide basse ainsi qu'une batterie bien sèche délivrant une bouffée de psychédélisme tranquille et relaxant. Véritablement cinématographique, les morceaux s'enchaînent tels des hymnes à l'amour dans un vide intersidéral. Simple d'apparence mais d'une infernale richesse de détails, la musique de Seventeen Evergreen n'a pas fini de faire parler d'elle. Premier coup de buzz, ce vidéo clip païen et défoncé pour le premier titre extrait de l'album, Haven't been yourself. Des titres comme Sazebac, Lunar One ou Ensong sont de véritables ballades cosmiques en puissance, bandes originales évidentes de voyages stellaires imaginaires. Mercury Rev, Eels et Baxter Dury auraient déjà pris leurs tickets pour l'expédition.
A la fois fresque musicale riche et singulière et mélange d'exaltations électroniques berçées à la pop américaine dans le bon sens du terme, Life embarrasses me on planet earth nous prend par la main et nous invite à bord de la toute première navette spatiale auditive. Planant.
Ju.
Je vous laisse tripper en compagnie du clip de Haven’t been yourself :
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