I don't mind the Buzzcocks fait référence au célèbre Never mind the bollocks des Sex Pistols. C'est peu dire que le groupe se considère comme post-punk.
Moins connus que ces aînés "comètes du punk", The Buzzcocks font en effet figure de référence du punk moderne, dans lequel on retrouve des tonalités quasi pop, en tout cas rock.
La composition de cet album tardif est très inégale et ressemble à s'y méprendre à une mauvaise reprise d'un album de The Clash.
Les intros sont souvent acerbes et s'apparentent aux ouvertures de ces homologues "stars". Les voix, infantiles, plaintives sont souvent trop mesurées, trop calculées. C'est comme si on effaçait la revendication, qu'on gommait les ratures de l'encre Punk. C'est parfois énervant, parfois magnifique. La basse est savamment dosée, la batterie éclate, rapide et maîtresse.
Deux titres sortent du lot: "You say you don't love me", une reprise à la sauce buzzcocks d'un thème et d'une mélodie des Beatles et "I believe" qui, dîtes moi si je me trompe, est une pure merveille Kinksienne, aux sonorités enjouées et optimistes.
Moins connus que ces aînés "comètes du punk", The Buzzcocks font en effet figure de référence du punk moderne, dans lequel on retrouve des tonalités quasi pop, en tout cas rock.
La composition de cet album tardif est très inégale et ressemble à s'y méprendre à une mauvaise reprise d'un album de The Clash.
Les intros sont souvent acerbes et s'apparentent aux ouvertures de ces homologues "stars". Les voix, infantiles, plaintives sont souvent trop mesurées, trop calculées. C'est comme si on effaçait la revendication, qu'on gommait les ratures de l'encre Punk. C'est parfois énervant, parfois magnifique. La basse est savamment dosée, la batterie éclate, rapide et maîtresse.
Deux titres sortent du lot: "You say you don't love me", une reprise à la sauce buzzcocks d'un thème et d'une mélodie des Beatles et "I believe" qui, dîtes moi si je me trompe, est une pure merveille Kinksienne, aux sonorités enjouées et optimistes.
Très instrumental, "Late for the Train" tourmente les esprits en leur proposant un univers hypnotique rassurant et libérateur. On l'écoutera en boucle, le volume au maximum, sous café, pour en apprécier la puissance.
Les autres morceaux s'écoutent sans subjuguer. Un album inégal, donc, presque trop calme. Un album que je n'aurais pas eu le courage de nommer en référence à l'album phare des Sex Pistols.
I believe en live:
Voir aussi:
L'article de Fab sur les Sex Pistols
Le site des Buzzcocks
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