Il était temps que Dodb se penche sur le cas General Bye Bye, l’un des groupes pop français les plus originaux du moment. Ceux qui les ont suivis depuis le début le savent bien, ils sont fous ! Allant jusqu’à se grimer en chat sur la toile pour récolter des fonds pour une énième tournée américaine, le désormais trio n’a peur de rien, et certainement pas du ridicule. Sur scène c’est en combinaisons de mécanos qu’on les retrouve, et qu’on découvre par la même occasion l’instrument finlandais qu’ils affectionnent le plus, le kantele (sorte de harpe). Ils sont très prolifiques, on les a entendus l’année dernière sur leur premier album Girouette, et en avril, ils reviennent !
L’histoire de ce disque est qui plus est sympathique. Lors d’un passage à Memphis, Philippe Beer-Gabel, Emmanuel Quirié et Etienne Gillet se lient d’amitié avec Jeff Cline, ingé son universitaire. Ce dernier leur ouvre alors les portes du studio du campus pour enregistrer en 24 heures chrono ce mini Lp de six titres sautillants. Jack Bauer n’aurait pas fait mieux. Au programme, des cordes, des claviers, des percussions et beaucoup, beaucoup de rebondissements (en témoignent les graphes en montagnes russes de leurs morceaux sur Soundcloud).
A l’écoute de ces six nouveaux titres le constat est sans appel. Le trio de savants fous est de plus en plus libre et foutraque. Ce "Blood on my keyboard" est vraiment excellent, avec ses synthés débridés, ses couches sonores et son chant en franglais. Typiquement le morceau addictif à passer en boucle, libéré de toute influence. Le deuxième exploit c’est ce "Emmylou" qui termine le disque. Une intro entraînante, des instruments qui se rajoutent à table petit à petit, la voix inimitable de Philippe qui traîne la patte, et bim!, synthés et refrain qui prennent le relai vers un final instrumental passionnant. Entre les deux, on trouve quatre autres morceaux à creuser pour en découvrir tous les trésors cachés. Ne passez pas à côté.
En bref : un mini Lp de pop en roue libre avec des synthés et des cordes par un groupe modeste et désormais vraiment incontournable.
Leur site officiel et l’album en streaming
L’histoire de ce disque est qui plus est sympathique. Lors d’un passage à Memphis, Philippe Beer-Gabel, Emmanuel Quirié et Etienne Gillet se lient d’amitié avec Jeff Cline, ingé son universitaire. Ce dernier leur ouvre alors les portes du studio du campus pour enregistrer en 24 heures chrono ce mini Lp de six titres sautillants. Jack Bauer n’aurait pas fait mieux. Au programme, des cordes, des claviers, des percussions et beaucoup, beaucoup de rebondissements (en témoignent les graphes en montagnes russes de leurs morceaux sur Soundcloud).
A l’écoute de ces six nouveaux titres le constat est sans appel. Le trio de savants fous est de plus en plus libre et foutraque. Ce "Blood on my keyboard" est vraiment excellent, avec ses synthés débridés, ses couches sonores et son chant en franglais. Typiquement le morceau addictif à passer en boucle, libéré de toute influence. Le deuxième exploit c’est ce "Emmylou" qui termine le disque. Une intro entraînante, des instruments qui se rajoutent à table petit à petit, la voix inimitable de Philippe qui traîne la patte, et bim!, synthés et refrain qui prennent le relai vers un final instrumental passionnant. Entre les deux, on trouve quatre autres morceaux à creuser pour en découvrir tous les trésors cachés. Ne passez pas à côté.
En bref : un mini Lp de pop en roue libre avec des synthés et des cordes par un groupe modeste et désormais vraiment incontournable.
Leur site officiel et l’album en streaming
0 Comments:
Post a Comment