Passons rapidement sur l'interminable jam vaine et inutile, typique de ces logorrhées hippie du summer of love. Tout au long de 19' pourries, le grand groupe d'Arthur Lee nous sert une impro inepte que le Grateful Dead lui-même n'aurait pas osé inclure dans un de ses triple-albums.
Dont acte. N'empêche qu'avec cette faute de goût, Da Capo passera à côté du titre du plus grand disque de Love dévolu pour l'éternité à Forever Changes.
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