Cet album, comment dire....constitue l'une des oeuvres les plus effrayantes à avoir jamais été gravées dans la cire. Et là où les oeuvres précédentes aux accents médiévaux - dans ce que l'on a coutume de nommer la trilogie de Nico - The Marble Index (69) et Desertshore (70) - se posaient déjà un peu là niveau matière sonore sinistre, The End..., son dernier volet enfonce carrément le clou.
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