On les retrouve avec plaisir, même si à la vérité ils ne s'étaient jamais vraiment arrêtés. 3 albums depuis Endless Flowers qui avait fait découvrir le groupe de San Diego au plus grand monde.
Déjà le septième opus pour Brandon Welchez et Charles Rowell, et toujours cette même fraîcheur, cette même spontanéité. Celui-ci franchement rock est sans doute l'un de ses meilleurs. Il contient son lot de titres qui envoient du bois; on pense notamment à "My far out friend", "Heart like a gun", "I was a fly"... et toutes les autres.
De bonnes guitares dont les rythmiques les font toujours autant ressembler à des Brian Jonestown Massacre Club qui essaieraient de sonner comme The Jesus And Mary Chain à la place des Black Motorcycle Club.
Peu de temps morts donc et des titres enchaînés sans coup férir. Brandon et Charles aidés de nouveaux acolytes poursuivent leur credo indé en n'oubliant pas de soigner leurs singles, l'impeccable "My far out friend" en tête. Semblant affectionner particulièrement la France dont les tourneurs ne rendent hélas que peu justice à leur affable disponibilité, Crocodiles moins pop qu'hier exercent plus que jamais un effet pilonnant dans leurs chansons.
Love Is Here conclut de belle façon une première décennie no bullshit qui en appelle d'autres, de la part d'un duo pas toujours reconnu à sa juste valeur dans la cohorte de groupes à formules venus d'Outre-Atlantique.
En bref : on retrouve avec plaisir cet excitant combo de San Diego et ses accortes pop songs envoyées comme des uppercuts.
Déjà le septième opus pour Brandon Welchez et Charles Rowell, et toujours cette même fraîcheur, cette même spontanéité. Celui-ci franchement rock est sans doute l'un de ses meilleurs. Il contient son lot de titres qui envoient du bois; on pense notamment à "My far out friend", "Heart like a gun", "I was a fly"... et toutes les autres.
De bonnes guitares dont les rythmiques les font toujours autant ressembler à des Brian Jonestown Massacre Club qui essaieraient de sonner comme The Jesus And Mary Chain à la place des Black Motorcycle Club.
Peu de temps morts donc et des titres enchaînés sans coup férir. Brandon et Charles aidés de nouveaux acolytes poursuivent leur credo indé en n'oubliant pas de soigner leurs singles, l'impeccable "My far out friend" en tête. Semblant affectionner particulièrement la France dont les tourneurs ne rendent hélas que peu justice à leur affable disponibilité, Crocodiles moins pop qu'hier exercent plus que jamais un effet pilonnant dans leurs chansons.
Love Is Here conclut de belle façon une première décennie no bullshit qui en appelle d'autres, de la part d'un duo pas toujours reconnu à sa juste valeur dans la cohorte de groupes à formules venus d'Outre-Atlantique.
En bref : on retrouve avec plaisir cet excitant combo de San Diego et ses accortes pop songs envoyées comme des uppercuts.
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