28 juin 2019

The Specials - Encore (2019)

Ils ne se sont évidemment pas cassés pour le titre de leur album qui fait en plus écho à leur More de 1980. Pas plus que sur le visuel mornement gris à peine rehaussé d'un lettrage embossed. Mais l'essentiel est ailleurs : 29 ans après leur dernier morceau de bravoure, les Specials sont de retour.


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17 juin 2019

Novalis - Banished Bridge (1973)

Cousins d'écurie de Neu!, Amon Düül, Jane, Cluster, Klaus Schulze ou autre Guru Guru au sein du remarquable label Brain, le groupe de Hambourg est généralement le laissé pour compte du krautrock.


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11 juin 2019

Fontaines D.C. - Dogrel (2019)

Au commencement était Fontaines. Et derrière ce curieux nom français hommage au personnage de Johnny Fontane (Le Parrain), un drôle de quintette qui ne recélait pas moins de deux Conor. Pas de doute, cette nouvelle coqueluche du rock indé anglophone était forcément irlandaise. Après deux singles d'after punk brut de décoffrage ("Liberty Belle" et "Hurricane laughter"), les cinq membres de Fontaines originaires de Dublin allaient accoler l'acronyme de leur ville à leur nom : Fontaines D.C. était né.


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05 juin 2019

Luc Cousineau - S/t (1976)

Le répertoire québécois a cela de bien qu'il ne cesse de nous surprendre, pour qui sait par où le prendre. D'aucun auraient passé leur tour devant cet artiste, plutôt confidentiel dans nos contrées, mais véritable star chez nos cousin d'outre Atlantique. Comme avec Rêve Et Amour de Johnny ou L' Interrogation de Dick Rivers, on se trouve ici en présence d'un album à part dans la carrière d'un chansonnier finalement assez classique. Un disque presque inconnu aussi là bas, que s'arrachent (un seul pressage vinyle ever, pas de cd) quelques initiés férus d'albums d'albums transgenres, à la frontière de la library music, d'une liberté créatrice débridée.


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03 juin 2019

#TINALS 7ème édition - 30/05, 31/05 et 01/06 2019

Grian Chatten (Fontaines D.C.)
courtesy of Catherine Biasetto

Le chiffre 7 n'est pas que magique ; il est aussi symbolique. D'un virage à 180 degrés pris par l'emblématique festival nîmois. Exit le côté bling bling de têtes d'affiche bien installées qui lui avaient été reprochées lors de la précédente édition. Et si l'on déplore une représentativité moindre des artistes black soul jazz et une orientation pop indé affirmée, force est de reconnaître que ce faisant, le TINALS renoue avec la ligne éditoriale de ses débuts.
Que s'est-il passé pendant ce très chaud pont de l'Ascension ?


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