Venus initialement découvrir la dernière sensation australienne RVG, nous comprenons rapidement que de première partie escomptée il n'y aura pas : un simple ampli et une guitare posée sur un pied étant les uniques atours de la scène avant l'espéré support band. Entre temps une chanteuse du cru - elle habite à quelques blocks - a pris le relais pour une performance sympathique quoique anodine.
C'est d'ailleurs Billy Nomates qui enfonce le clou en début de "set", nous apprenant que cette date initialement prévue le 28 mars avait été reportée du fait de sa voix déficiente bla bla bla ; laquelle aura entraîné le retour inopiné de la bande de Melbourne pour une série de dates presque concomitantes et initialement prévues dans son pays d'origine. Il semble d'ailleurs que cette décision longtemps laissée en suspens ait ajouté à la confusion du line-up lors de la vente des tickets.
Et Billy Nomates de retrouver sa voix, ce qui est un moindre mal vu l'ascétisme de son show que l'on pourrait résumer ainsi :
21 morceaux de variétoche "joués" (en fait une bande-son intégrale y compris de ses propres choeurs !)
1 guitare grattouillée (sur la première "chanson" et puis plus rien)
1 cymbale frappée (alors qu'elle ne demandait rien) sur un temps d'un autre "morceau".
C'est peu...
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