The Cure : ses intros lourdingues et interminables, ses outros complaisantes et pompières, ses nappes de synthés dégoulinants, ses "tu-tu-du tu-tu-du" assénés par un Robert Smith aussi dégoulinant que son maquillage, cette enfilade de singles vilains aux sonorités de trompette prout et de pizzicati berk...
Passé ce constat peu amène mais assez représentatif du monstre médiatique que le groupe est devenu depuis 1985 et un certain passage chez Drucker, l'heure est à la réhabilitation et à la remise en cause.
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